Accueillons les migrants ! de Xavier Emmanuelli
Résumé :
53 ans après l'Abbé Pierre sur Radio-Luxembourg à l'hiver 54, l'une des grandes consciences de notre temps nous enjoint de manifester notre solidarité. Des vagues humaines bravent les pires dangers pour rejoindre une terre qui est à leurs yeux l'ultime espoir. Ils sont des milliers à être retrouvés noyés après le naufrage de leurs embarcations de fortune, morts de soif dans les cales de camions. Tous portent un avis d'expulsion gravé dans leur chair. Dans leur pays, leur vie était menacée. Lampedusa, Lesbos... Ils espèrent, à la fin du leur périlleuse traversée, trouver une vie meilleure. Mais à leur arrivée, ils sont arrêtés par la police pour être de nouveau parqués dans des camps saturés. Clochardisés, maltraités, ils sont déplacés d'un centre d'hébergement à l'autre avant de se résoudre à reconnaître la vérité : personne ne veut d'eux ! Pourtant, la France est riche, nous avons la capacité d'accueillir ces migrants, clame Xavier Emmanuelli. Nous ne faisons pas assez pour eux. Soyons à la pointe de ce combat.
Dans cet appel solennel, le fondateur du Samu social explique que les migrants sont une chance pour notre pays et qu'il faut les accueillir dans nos coeurs et nos maisons...
Mon avis : (Attention avis vénère et long.)
"La France parviendra-t-elle à ne pas se laisser entraîner dans l’orbite du monde arabo-musulman ? Rien n’est moins sûr, car dans sa confrontation avec l’islam de masse installé sur son sol, la France se trouve mortellement handicapée par ce qui fait sa fierté et constitue la seule identité qu’elle veuille bien revendiquer aujourd’hui : les droits de l’homme. En effet, l’application de droits individuels jadis conçus pour protéger un peuple contre les excès d’autorité de ses gouvernants devient dangereux pour ce peuple quand se déversent sur son territoire d’autres peuples, surtout dans un climat de guerre entre civilisations."
"L’admission, au nom des droits de l’homme, de tous les individus présents sur le territoire d’un pays européen à multiplier les revendications et les actions juridiques fournit à ces individus une arme en principe contre l’Etat, mais en réalité contre le groupe humain du pays d’accueil. […]
En France nous ne sommes plus dans le cas de figure des droits d’un peuple face à son état, mais du droit d’un peuple d’être défendu par son Etat contre la présence envahissante de membres d’autres peuples, d’autres civilisations, qui dépossèdent notre peuple d’une partie de son territoire, lui causent de graves préjudices (incivilités, violences, dommages matériels), lui occasionnent des dépenses énormes (allocations sociales, médicales, dépenses éducatives) et détruisent son identité. Bref, qui sont en train de nous remplacer. Si bien que notre préoccupation première est désormais notre droit, comme peuple, à survivre.
[…] Car cette religion des droits de l’homme, au nom du dogme de l’amour de l’autre jusqu’au mépris de soi, a gravement dénaturé notre droit au détriment des valeurs de durée nécessaire à l’inscription dans le très long terme des groupes humains. Car cette religion des droits de l’homme nous livre sans défense à la flagellation d’une immigration dont le déferlement est présent comme le règne du bien sur terre. Car cette religion des droits de l’homme prête à la conquête généralement feutrée, mais bien réelle, de notre pays par la civilisation arabo-musulmane."
"Le concept de guerre de civilisations, que l’on s’est empressé de rejeter au prétexte qu’il s’agirait d’une bêtise du néo-conservatisme bushiste, est une réalité, certes désagréable, mais malheureusement évidente. Ayant généralement pour enjeu principal le contrôle d’un sol, les conflits entre Etats ou groupes appartenant à des civilisations différentes sont susceptibles de déboucher sur des guerres civilisationnelles, les quelles peuvent éclater dans des Etats, mais aussi au sein d’un même Etat. Il est par ailleurs avéré que les musulmans sont beaucoup plus impliqués que les membres des autres civilisations dans les violences des guerres de civilisations.
L’islam impose aux Européens un conflit de civilisations en s’invitant et en s’incrustant avec aplomb sur leur sol tout en refusant de se fondre dans la société sécularisée produite par près de 2 millénaires de chrétienté occidentale, et dont les membres, quand bien même ils ne seraient plus religieusement des chrétiens, ne portent pas moins profondément l’empreinte du christianisme, ce qui fait des modernes que nous sommes – athées et anticléricaux compris -, qu’on le veuille ou non, des chrétiens.
Dans sa guerre ouverte contre l’Occident, l’islamisme entend s’appuyer sur les masses musulmanes installées sur le sol européen et qui affluent chaque jour plus nombreuses. L’islam submerge des territoires entiers et y installe sa civilisation, ses minarets, ses modes de vie, ses prescriptions et interdits alimentaires, ses comportements vestimentaires, avec pour conséquences de déposséder les habitants légitimes et de les expulser vers d’autre zones."
Les droits de l'homme contre le peuple de JL Harouel
Mon avis :
Information importante : Si vous vous attendez à ce que je fasse des migrants ou des immigrés des victimes, vous êtes mal tombés. Je ne suis absolument pas pour l'invasion migratoire, et je ne suis pas fanatique de cette époque qui voudrait faire croire que le mal n'arrive que par l'Occident et que c'est à l'Occident de résoudre les problèmes en ouvrant beaucoup trop grand ses portes. Enfin, sachez que je vois certains migrants et immigrés aussi comme ils sont : des gens haineux à problème qui ne sont pas utiles à la France et qui n'ont rien à faire ici.
Je savais que j'allais m'énerver en lisant ce livre, comme je m'énerve déjà devant les idiots généreux qui s'expriment dans la presse ainsi. Franchement, comment ne pas s'énerver quand on les entend vanter les bienfaits de l'immigration, qui nous pose problème depuis plus de 30 ans soit dit en passant ? Franchement, comment ne pas s'énerver quand on les entend prêcher le suicide de l'Europe pour sauver l'Afrique et le Moyen-Orient ? Depuis quand doit-on se suicider pour sauver les autres ? Franchement, comment ne pas s'énerver quand on les entend victimiser et infantiliser l'Afrique et Le Moyen-Orient ? Franchement, comment ne pas s'énerver quand on les entend taper sur l'Union-Européenne qui ne ferait pas assez selon ces juges de la bien-pensance, alors qu'on en fait déjà beaucoup trop ? Franchement, comment ne pas s'énerver devant tant de balivernes ? C'est impossible ! Ces idées sont trop dangereuses et fausses pour ne pas s'énerver.
Alors oui, je le redis, devant ce livre je me suis énervée sur ces aveugles qui n'ont pas un minimum de réflexion, qui ne voient pas les méfaits de leur pensée et de leur action, et les conséquences graves qu'elles font peser sur l'Europe et son avenir. Etant donné qu'ils sont dans une logique de capital, de mondialisation, de concurrence, de pauvreté, d'apartheid, de mise à mort des identités et des frontières, et de haine de soi.
Bref ! Toi qui lis ceci, ne t'attends pas à me trouver complaisante avec ce genre d'idiot, car tu vas être déçu. Maintenant pour en venir au livre, faut dire qu'il y a tellement à dire que je ne sais pas par où commencer.
En fait si, je pourrais déjà commencer par dénoncer l'idéologie de l'auteur qui pense que l'on fait de la politique avec des bons sentiments, et cela est particulièrement visible page 129 quand il regrette que l'on n'ait pas favorisé l'accueil et l'hébergement des hors-la-loi suite à la noyade du gamin. Comme si faire de la politique avec des bons sentiments était chose normale. La politique demande un peu plus de bon sens quand même !
Outre cette idéologie dégoulinante de bon sentiment et de merde, je pourrais parler aussi du fait que ce livre fait une grande part au déni. Je sais cette tare-là est typique du sectarisme gauchiste, mais à chaque fois qu'on tombe dessus ça fait un choque faut bien le dire. Comment ne pas être choqué, quand vous voyez que ce mec met l'incendie du camp de Grande-Synthe sur le dos des autres afin de dédouaner les migrants ?! Comment ne pas être choqué, quand il pense que les migrants ne sont pas responsables en partie des agressions de Cologne ?! Car il pense qu'ils ne peuvent pas être méchants parce que ce sont les pauvres grands malheureux de l'histoire, qui dans la tête de l'auteur ne viennent ni avec leurs mœurs ni avec leurs problèmes, ou encore leur volonté de reproduire ici leur société d'origine. Comment ne pas être choqué par tant de bêtise et d'aveuglement ?! C'est impossible, là aussi. Et d'ailleurs je me demande, étant donné que le livre date de 2017, comment il a réagi en entendant parler d'autres faits eux-mêmes indiscutables sur le comportement des migrants qui a eu lieu depuis. Ce mec veut tellement croire aux victimes qu'il en oublie tout sens rationnel. C'est les sentiments avant tout.
Avec ces deux exemples on a déjà un bel échantillon de ce spécimen qu'est Emmanuelli. Mais on va aller faire un tour plus loin dans son esprit détraqué. Tu aimes la bêtise, le relativisme, le pathos, l'aveuglement, les clichés, ne bouge pas lecteur ce qui suit est pour toi.
Allons droit au but. Tous les migrants qui arrivent actuellement sont surtout musulmans (ajoutez à cela l'immigration légale), ils ne sont donc pas la religion la plus top et ne figurent pas parmi les peuples avancés, et nous le constatons tous les jours. De fait vous comprenez que je ne peux décemment pas être d'accord avec Xavier Emmanuelli quand il ose affirmer que l'immigration musulmane ne serait pas plus problématique que celle antérieure découlant des pays chrétiens. En effet, comment peut-on dire ça, quand depuis les années 80 au moins l'immigration issue de l'islam pose des emmerdes à tout bout de champ ?! Et pas qu'en France et ni qu'en Europe, et ce depuis plusieurs générations de présence par ailleurs. Il ne faut pas habiter dans un pays occidental pour dire une énormité pareille, nous sommes d'accord. Ou alors il faut être volontairement aveugle à la délinquance musulmane et à l'intégrisme islamiste qui pourtant donnent sans arrêt des coups de butoir contre les républiques et les démocraties occidentales !
Outre ceci qui met pour moi déjà la bêtise et l'aveuglement d'Emmanuelli magnifiquement en avant, faudrait dire aussi à ce monsieur qu'on ne compare pas les divers courants migratoires du passé avec les courants actuels, et on ne compare pas non plus les chrétiens aux musulmans qui pratiquent une religion, inégalitaire, violente et arrogante (je n'ai rien inventé ceci est dans les textes sacrés, son histoire et son actualité).
Mais si tu penses qu'on ne peut pas faire pire que ça dans la bêtise, détrompe-toi lecteur ! Cette comparaison honteuse entre deux courants qui n'ont rien à voir, va plus loin dans la sottise, vu qu'il a utilisé l'englobement et la généralisation au mépris de la subtilité. Pourtant il aurait été judicieux de sa part de voir que les migrants polonais et italiens qu'ils aiment bien citer en exemple n'ont pas fondé l'identité française, ils se sont fondus en elle (j'en suis un exemple). Ce qu'une grosse partie des musulmans depuis plusieurs dizaines d'années ne cherchent pas à faire, étant donné qu'ils tentent de la modifier voire de l'éradiquer. Deux choses complètement différentes !
Mais tant de bêtise a au moins quelque chose de positif, car cela prouve encore une fois que faire appel à l'histoire est rarement une bonne solution. Si les choses se répètent, il ne faut pas oublier que les époques sont différentes, que les gens sont différents, donc confronter des courants migratoires qui n'ont rien à voir entre eux c'est parfaitement stupide. Et en sus, quand on aborde les courants migratoires passés, il serait judicieux de penser que le chemin dans l'autre sens n'est pas une réalité incontestable non plus, comme l'auteur le croit en partie...
Forcément, après l'histoire utilisée de manière douteuse, avec ses petites sources incomplètes l'auteur va en arriver aux arguments économiques et tout ce qui s'y rattachent. Là aussi, on voit tout de suite qu'il ne dit pas tout et ne pense pas à tout, par exemple quand il aborde les soi-disant cerveaux diplômés arrivés en masse invasive et qui sont vus comme une chance économique pour lui.
Sur ce point, c'est bien il dénonce que c'est une perte pour le pays d'origine. Il a aussi conscience que les diplômes ne valent pas la même chose ici. Mais stoppons ici son rationalisme. En effet, pour lui ça reste des diplômés, de fait il reste persuadé que ça peut être un rouage économique utile dans le pays d'accueil en mal d'invention et de richesse. Oubliant juste dans le même temps que nos cerveaux se barrent à l'étranger par manque de moyen alors qu'ils ont souvent coûté cher à la communauté nationale... Ça ne serait pas mieux de s'occuper d'eux en premier ? Non ?
Notons cependant le bénéfice de la vison africaine que l'auteur avance en vantant les cerveaux. En effet, tous ces cerveaux attestent de l'excellent système éducatif en Afrique, donc pourquoi s'inquiéter pour eux et ne pas les renvoyer chez-eux ? Ils ont l'arme fatale pour changer leur pays en bien ! Et ceci même s'ils sont assez cons et bêtes pour dédier leur thèse de médecine à dieu. Mais c'est vrai que c'est plus pratique de venir gueuler leur racisme anti-blanc ici et réclamer des choses ici. Pardon j'avais oublié. Manifester ici oui, chez-eux non ils sont trop lâches. Des sangsues ces parasites.
Si on déplace un peu le curseur économique sur l'éducation - mais les deux se rejoignent à l'arrivée -, on va se rendre compte là aussi qu'Emmanuelli vit au pays de Candy. Pour lui l'éducation des migrants ou de leur progéniture servira à terme l'économie du pays d'accueil. Ceci est bien-sûr faux et pour plusieurs raisons.
Premièrement, parce qu'ils pourront toujours repartir à tout moment dans le pays d'origine, après avoir bien profité du système fort généreux mis en place par l'Etat français et qui coûte pourtant cher aux contribuables. (Et pardon l'image de la France à l'étranger on s'en fout un peu.)
Deuxièmement, ce surcroît d'étudiant si on accueillait les migrants et leur progéniture serait une catastrophe. Une catastrophe pour la distribution des places à l'université mais aussi pour accéder au logement, et ça l'auteur n'y a pas pensé dans sa générosité vu qu'il imagine que la France et l'Europe sont vides. Pourtant, combien de potentiel étudiant français ne font pas d'étude supérieure car financièrement et structurellement ça ne suit pas ?
Bien-sûr, on peut dire qu'il faut mettre plus de moyen dedans pour créer de la place par exemple, mais c'est impossible. On ne peut pas accueillir les autres et s'occuper de nous dans le même temps. Ce n'est pas possible, on en n'a pas les moyens. On n'habille pas Pierre et Paul ensemble. Le traitement de l'un demande le sacrifice de l'autre obligatoirement. Et pardon, je pars du principe qu'il vaut mieux sacrifier l'autre, il en va de notre avenir en France.
Troisièmement, et pour finir sur l'éducation et montrer la connerie de l'auteur ainsi que sa vacuité, notons que l'immigration est nocive pour l'instruction et donc à terme mauvaise pour le pays. En effet, Emmanuelli a oublié que pour les nouveaux arrivants ça fait des années qu'on baisse le niveau scolaire français afin qu'ils aient plus de facilité à suivre. Ceci a donc une regrettable conséquence sur le niveau d'éducation, nos diplômes et notre place dans le monde. Alors, je pose la question qu'on est tous en droit de se poser : à quel moment l'immigration s'avère être superbe pour notre pays d'un point de vue éducatif et économique ? Enfin, est-ce que le peu de diplômés qui arrivent doivent justifier une politique migratoire libérale ? Bien sûr que non.
Ce sujet économique-éducatif, n'est pas le seul où l'auteur déraille à plein pot. En effet et comme beaucoup de personne, il est persuadé que les migrants relanceront le pays malgré les fortunes qu'ils coûtent en structures, aides sociales et délinquance. (La délinquance n'est probablement pas comptée dans les statistiques qu'Emmanuelli nous sort.)
Pour défendre ces idées-là, l'auteur aborde entre autre chose les zones désertées. Ce monsieur table en effet sur l'immigration pour les rebooster. Là-dessus pourtant, j'ai pas mal d'arguments qui montrent que là aussi il y a une grosse utopie de la part de l'auteur. En effet, les zones rurales par exemple, ne repartiront pas avec des migrants. Les magasins qu'il imagine ouvert ne tiendront pas. D'une part car ils sont plus chers et qu'il existe les grandes surfaces et internet, et d'autre part parce que beaucoup ne vendront pas ce qui ne colle pas avec leur religion. Et il y a 150 000 arguments encore à côté de ceux-là, comme celui d'avoir besoin de l'argent pour ouvrir un magasin...
En plus de cette histoire de magasin, n'oublions pas que la délinquance très importante dans certains courants migratoires (arabo-musulman, africain, rom) pose aussi un problème de sécurité, et à long terme sur la vie d'une ville ou d'un village. Donc imaginez trente secondes la merde si on mettait des migrants par dizaines et centaines dans des villes et villages. Imaginez juste 30 secondes... Je rappelle qu'à cause de l'immigration massive et de sa délinquance il y a plusieurs lieux en France qui voient les commerces fermer, qui voient les médecins partir, les fêtes s'arrêter, les gens déménager, etc., et tout ça devient à l'arrivée des villes mortes et/ou communautaristes car c'est impossible de vivre à côté de ces gens-là.
Donc dire que l'immigration booste la vie économique d'un pays, c'est faux. C'est une image d'Epinal qu'il faut arrêter d'avoir. Et je n'ai pas parlé du PIB qui se barre à l'étranger par les transferts d'argent, ni du trafic d'argent (allez voir les magasins à Marseille porte d'Aix pour comprendre). Pas plus que je ne parle de ce qu'ils coûtent en milliards par an aux états. Et là aussi pardon, je pars du principe que l'argent dépensé pour eux serait plus utile pour nous (armée, éducation, santé, culture, infrastructure, retraite...), ou pour renflouer la dette qui assure à la France un avenir ruiné.
Bref ! Économiquement l'invasion migratoire est nuisible. Et je reste en outre persuadée que la France est pleine comme un œuf pour ses capacités actuelles et futures et qu'elle n'a donc pas besoin de plus de population.
Au-delà de la question migratoire, notons quand même l'attachement de l'auteur aux vieux schémas consumériste et capitaliste. Outre le fait que je trouve foireux comme plan l'idée de risquer une guerre pour une économie florissante. Notons que la consommation ce n'est pas ce qui a de meilleur pour la planète et sa population (humaine, animal, etc.).
Toujours dans ce sujet économie pour l'économie. Une autre légende tenace que l'auteur aborde : les retraites. Plus exactement, le paiement des retraites par l'immigration. Là j'avoue que je suis dans l'incompréhension totale ! Depuis Mitterrand et même avant, la France est submergée par l'immigration africaine et du Maghreb surtout, et pourtant plus de 30 ans après on ne paye pas plus les retraites... Je n'ai rien à dire en plus, les faits parlent d'eux-mêmes.
Au-delà des retraites, notons que l'immigration est pour les travailleurs ou les chômeurs source de misère et de fin de droit. L'immigré ou le migrant qui demandera moins baisse ou gèle forcément les salaires, et de fait réduit le droit du travail. C'est pour ça d'ailleurs que les patrons en veulent des migrants. Ca les arrange pour tout saper à la base, ce n'est pas de la charité. Plus il y aura d'inactif, mieux c'est.
Après ce tableau peu reluisant de l'immigration que l'on pourrait continuer longtemps, on peut assurément soutenir que l'immigration massive n'a rien de bénéfique pour l'économie, le travail, les retraites ou même encore n'a rien de bénéfique à la bonne marche du pays de manière générale. Pour plus de renseignement lisez Malika Sorel, Bruckner et d'autres.
Bon d'accord parfois, l'auteur montre que ce n'est pas toujours une bonne chose, mais c'est tellement honteusement minimiser qu'il aurait mieux dû s'abstenir d'aborder le sujet.
Rien de très étonnant à tout ça cependant, puisque outre les arguments qui ne tiennent pas la route l'auteur s'exprime avec force de pathos. Et quand une personne met en avant le pathos bien avant la raison, vous pouvez être sûr que ses écrits, sa pensée, c'est que du n'importe quoi. Puisque le pathos reflète un manque d'argument ou des arguments bancals qu'on aimerait bien faire oublier par les larmes. Mais comme je l'ai déjà dit, on ne fait pas de politique avec des bons sentiments. La réalité demande plus de bon sens. Bien sûr au milieu de son pathos, il a parfois des moments de lucidité sur les situations, mais pour ma part je ne le suis pas dans sa conclusion.
Oui, il a raison, les Etats européens gèrent mal la crise, se maquer avec l'intégriste Erdogan c'est débile. Oui, il a raison, les lois sur l'immigration, le droit d'asile, le droit du sol (ça c'est moi qui rajoute) ne sont pas adaptées à la situation présente et future, surtout qu'on aura nous-mêmes en Europe nos propres déplacés climatiques et je rappelle qu'on souffre déjà du manque d'eau ; donc oui il faut clairement que tout ça soit revu au niveau des états. Traité toutefois de manière différente selon l'origine des arrivants. Mais moi, à la différence de l'auteur je ne suis pas pour qu'on assouplisse tout ça parce que c'est la France ! Au contraire, il faut durcir ce système, car cela ne peut pas durer ainsi. Nous sommes envahis et pas que par l'immigration illégale hélas, et cette immigration est nuisible.
Certes, l'auteur parle de tri, c'est bien il a conscience qu'on ne peut pas accueillir tout le monde - encore que je ne suis pas arrivée à fixer sa limite qui a l'air d'être très lointaine -, mais vu qu'à côté de ça il raconte qu'il faut donner des aides, qu'il faut les soigner (gratuitement forcément), qu'il faut les protéger, qu'il faut les accueillir car c'est ça la France, on se doute bien finalement qu'il a mis ça juste pour faire croire qu'il avait réfléchi correctement à la situation. Ce qui quand on continue la lecture montre que ce n'est pas le cas...
Pour continuer à montrer les erreurs de l'auteur, je pourrais argumenter qu'en France on n'a déjà bien assez de misère et qu'il est inutile d'avoir des nouveaux venus qui ne sont pas intégrables et qui nous détestent en plus. Je pourrais lui rappeler que par le passé la France n'a jamais hésité à renvoyer dans le pays d'origine s'il le fallait (cf : Pour en finir avec la repentance coloniale). Mais tout ça on le connait, du coup je vais juste me contenter de faire remarquer à l'auteur que sa manie d'infantiliser l'Afrique ou encore le Moyen-Orient est abject. L'Afrique ou le Moyen-Orient sont constamment vus comme des victimes et ça, ça commence à bien faire.
Ne croyez-vous pas Monsieur Emmanuelli qu'il serait temps de les mettre devant leurs responsabilités, d'arrêter de les infantiliser et de les tenir dans un sentiment d'infériorité ? Je n'ignore pas que l'Aide Internationale est un commerce juteux et qu'en plus ça donne une bonne image à l'égo, à votre égo. Mais force est de constater, surtout pour l'Afrique, que depuis qu'on leur donne du fric et qu'on les aide, ça ne les aide pas des masses. De fait, il faudrait peut-être songer à arrêter ce qui ne fonctionne pas, afin d'inverser la tendance pour favoriser un sursaut de survie de leur côté et des réformes. Et s'ils ne font rien de ça, tant pis pour eux ! Qu'ils crèvent.
Odieuse moi ?! Non. Infantiliser l'Afrique ou encore le Moyen-Orient, s'est encourager les départs et tout ce qui a de nocif avec : les morts, le commerce d'esclave, le commerce sexuel, etc... C'est aussi faire le jeu des passeurs dont font partie les ONG chaînon nécessaire à la traite humaine. Ne serait-il donc pas temps d'arrêter de jouer la charité des prédateurs, afin d'arrêter les crimes qui se cachent derrière ? Tout ça pour le bien de tous. Moi, je pense que oui. Je pense qu'il est temps d'arrêter l'infantilisation et de croire que nous pouvons faire face à toute cette demande dévoreuse d'argent, de temps et de personne. La France n'a pas un porte-monnaie sans fin. L'Europe non plus. Et ces deux entités en donnent déjà beaucoup trop pour ces pays, et je ne parle pas des ONG et des particuliers. Arrêtons le massacre.
J'entends de là dire que l'Occident est responsable de ce qui se passe, et que je devrais avoir un peu honte de parler de crime quand je parle de charité. L'auteur a tenu à peu près ce discours. Sauf que non, je n'ai pas honte, car l'Occident n'est pas seul responsable de ce qui se passe. En effet, l'Orient a sa grande part de responsabilité, l'Afrique aussi. L'islam est un problème et a toujours été un problème, cette religion a toujours été violente et discriminatoire, les autres religions sur le refus de l'avortement sont aussi un problème. Mais la corruption, les guerres de clans, la hiérarchie des sociétés, la démographie galopante, les mœurs, etc., sont des gros problèmes aussi et un frein au développement. Donc taper sur l'Occident pour qu'elle arrange tout ça et arranger tout le monde, faut arrêter aussi ça n'a pas de sens et ça ne sert à rien. Tout comme il faut arrêter en Occident la flagellation et ce côté christique qui fait qu'on veut prendre toutes les fautes des autres sur soi. L'Afrique, le Maghreb, le Moyen-Orient sont responsables de ce qui se passe, mettons les devant leurs erreurs. Pourquoi il n'y a que l'Occident qui devrait payer pour leur connerie ?!
En conclusion, ce livre fait surtout jouer les violons histoire de faire plonger la balance migratoire dans l'idiotie généreuse. L'auteur va tout faire pour vous tirer la larmichette à l'œil, vous parler de la misère, des commerces parallèles, des morts, des malades, des hors-la-loi qui brûlent leurs doigts afin de ne pas respecter encore une fois les lois que les Etats instaurent, etc., etc. A côté, et pour ne paraître pas trop idiot, trop complaisant, il va nous dire qu'on ne peut pas accueillir toute la terre entière, il va tenter de minimiser son discours en mettant dedans une fois ou deux les méfaits de cette vague migratoire, mais allez savoir pourquoi, on n'y croit pas une seule seconde. En effet, son objectif est clair, c'est d'accueillir, d'accueillir, d'accueillir parce que c'est sa France idéale. Il a ce cliché là en tête. (Il serait donc bien judicieux de sa part d'arrêter de taper sur ceux qui ont le cliché inverse.)
Bien sûr, il a raison quand il dit que la fin d'un monde, ce n'est pas la fin du monde, mais je trouve sa résilience dangereuse toute de même. Car ça cache mal son côté défaitiste, et son côté « de toute manière on ne peut rien y faire » un peu fataliste. Alors que non, on peut refuser un monde, et il est même conseillé de le refuser si celui qui se prépare est gage de guerre. L'Europe commence plus ou moins à le comprendre, pas encore assez vite hélas. A vous monsieur de le faire maintenant. Car ce n'est pas en jouant sur les racines chrétiennes de l'Europe et la laïcité (qui n'a jamais été pensée pour l'islam et sa violence) que l'on va maintenir l'identité européenne et la paix ici. Surtout pas dans cette époque individualiste qui se croit tout permis sur l'intérêt commun. Et surtout pas dans cette époque où les étrangers présents sur nos terres passent leur temps à nous cracher dessus.
Pour finir, j'ai conscience que ce que je dis peut paraître odieux, on parle de souffrance humaine, mais la charité ne peut être éternelle et n'est pas bonne conseillère dans ce monde. Je sais aussi que ce que j'ai écrit peut en choquer beaucoup à gauche et même à droite, pourtant ce que j'ai mis dans cet avis - et on pourrait en rajouter - ce sont des réalités vraies, et il faut les prendre en compte dans cette question migratoire, ce que des tas de crétin ne font pas parce que ça ne les arrange pas politiquement ou parce qu'ils n'ont pas les couilles comme c'est le cas de Macron
En attendant espérons que les bateaux coulent ou se choppent un beau virus. Ca stoppera toujours l'invasion migratoire. Et renvoyons chez-eux ces parasites présents sur nos terres. Gardons seulement peut-être les chrétiens, eux ne sont pas un problème à la laïcité ni à la France.