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Flûte de Paon / Livre-sse livresque
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19 février 2017

"Agatha Raisin : randonnée mortelle" de M.C. Beaton

Agatha Raisin : randonnée mortelle de M.C. Beaton

agatha raisin

Résumé :

Après un séjour de six mois à Londres, Agatha retrouve enfin ses chères Cotswolds - et le non moins cher James Lacey. Même si le retour au bercail de son entreprenante voisine ne donne pas l'impression d'enthousiasmer particulièrement le célibataire le plus convoité de Carsely.

Heureusement, Agatha est très vite happée par son sport favori : la résolution d'affaires criminelles. Comme le meurtre d'une certaine Jessica, qui militait pour le droit de passage de son club de randonneurs dans les propriétés privées des environs.

Les pistes ne manquent pas : plusieurs membres du club et quelques propriétaires terriens avaient peut-être de bonnes raisons de souhaiter sa disparition. Mais la piste d'un tueur se perd aussi facilement que la tête ou... la vie !

Mon avis :

Agatha Raisin c’est d’après le résumé une Miss Marple d’aujourd’hui, mais comme je ne connais pas ce personnage je ne pourrai dire si c’est vrai ou abusé.
Cela étant, Miss Marpel ou pas, cette quinqua en léger surpoids, amoureuse comme une gamine de 20 ans et un brin insupportable, est un personnage aux aventures agréables à suivre.

Certes, ce livre fait partie des livres vites lus et quasiment vites oubliés, pour autant l’ambiance anglaise, l’enquête menée par un milieu amateur et non officiel, ainsi que la résolution un peu hasardeuse a tout pour plaire. En effet, le côté calme qui change des romans policiers habituels très tendus, très sérieux, très oppressants fait du bien car c’est reposant. (Et je m’aperçois que c’est ce que je préfère dans ce genre.)
Ajoutez à cela l’air pur de la campagne anglaise c’est bon vous êtes en vacances. Il ne manque plus que le thé !

En résumé, c’est rapide (mais ce n’est pas grave il y en a d’autres), c’est simple, ce n’est pas prise de tête mais c’est franchement rafraîchissant et sympa. Ca se boit comme du petit lait, il n'y a rien de compliqué et de trop.

Merci Albin Michel.

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16 février 2017

"Noob Tome 1 : Tu veux entrer dans ma guilde" de Fournier & Cardona

Noob tome 1 : tu veux entrer dans ma guilde de Fournier & Cardona

Source: Externe

Résumé :

Suivez les aventures d'Arthéon le guerrier, chef de la désastreuse guilde Noob, Gaea l'invocatrice, manipulatrice et vénale, Omega Zell l'assassin, macho et égocentrique, sans oublier le pire de tous, Sparadrap le prêtre, naïf et simplet. Ils devront se supporter pour accomplir de nombreuses quêtes, explorer des donjons, parcourir des régions et affronter de terribles monstres pour passer de niveaux en niveaux.

Mon avis :

Je m'attendais à autre chose. J'ai beaucoup apprécier retrouver les personnages (surtout Sparadrap) mais je m'attendais à une histoire sur 38 pages avec un début et une fin (comme la série web) et non à des bouts d'histoire. Des suites d'aventure sans réel fil conducteur.
Mais je lirai les autres tomes avec plaisir quand même, les couleurs sont magnifiquement jolies et les dessins vraiment sympas. Puis les "mini-histoires" se lisent bien, sans compter que c'est toujours un plaisir de retrouver ce monde et ses personnages.

31 mars 2015

Bilan mars 2015

 

Bonjour à tous voici le bilan du mois de mars.

 

Le mois était bien parti, mais un évènement tragique (la mort de ma chatte, ma Violette d'amour) a fait que mon rythme a ralenti, cependant mon bilan n'est pas si mauvais malgré tout.

 

Livres lus :

1- Je reviendrais avec la pluie de Takuji Ichikawa. Pas fan de l'écriture, ni fascinée par l'histoire, mais la recette prend quand même, surtout sur la fin où j'ai trouvé le roman un peu plus consistant.

2- L'art d'écosser les haricots de Wieslaw Mysliwski. Je ne suis pas arrivée au bout de ce livre, j'ai arrêté peu après la page 200. L'histoire de cette vie est intéressante, bien écrite, profonde, mais sincèrement indigeste par les interminables longueurs et répétitions.

3- Enchantement de Orson Scott Card

4- Duel en enfer de Bob Garcia

5- Les brillants tome 1 de Marcus Sakey

6- Nouvelles histoires extraordinaires de Edgar Poe

7- La mort s'invite à Pemberley de PD James. Sympa mais sans plus. Outre le fait que je ne suis pas fan de Jane Austen, Darcy et compagnie, j'ai trouvé ce livre un peu mou, répétitif, sans grand intérêt, et avec trop de nom. Bref, pas loin d'être une galère.
Bien sûr le charme anglais a opéré, mais je dois admettre que la courtoisie toute anglaise des personnages m'a franchement fait chier. Enfin bon, si la couverture est sympa (et je l'ai acheté pour ça) le roman n'est pas inoubliable.

8- Pourquoi le ciel est bleu de Christain Signol

9- Pietra Viva de Léonor de Récondo

 

Voilà pour le bilan et oui je n'ai pas fait d'achat ! (Souvenez-vous j'ai dit que cette année je ferai baisser ma PAL, mais je sens que ça ne va pas durer ^^)

 

Bonne lecture à tous et bon mois d'avril.

3 février 2015

Bilan janvier 2015

 

Coucou à tous !

 

Janvier se termine et c'est l'heure du bilan, pour lequel je suis assez contente, même si niveau achat ça a été la fête du slip.

nuageconcon5

 

Alors niveau lecture :

1- Un destin singulier de Siméon 2 de Bulgarie

2- 14 14 de Paul Béorne & Silène Edgar. Petit livre jeunesse qui n'a pas été une lecture marquante (fallait s'y attendre), et que j'ai trouvé un peu simpliste. Cela dit j'ai bien aimé le parallèle entre les deux époques, qui peut montrer aux plus jeunes d'aujourd'hui la superficialité  de leur problème, et les différences de mentalité en 100 ans d'écart.

3- Donjon de Naheulbeuk tome 3 : le conseil de  Suak de John Lang. Je l'ai enfin lu, et j'ai enfin pu commencer la BD en rapport avec ce livre. Même si je pense que pour lire le tome 15 je vais attendre un peu, car le tome 14 ne m'a pas donné réellement de plaisir vu que je venais de finir le roman.

4- Femme nue jouant Chopin de Louise Erdrich

5- La reine des quatre royaume de Michael de Kent

6- Siddhartha de Herman Hess

7- BD Donjon de Naheulbeuk tome 14 de John Lang

8- BD Gaston Lagaffe de Franquin. Même si on m'appelle souvent Gaston Lagaffe, j'avoue que je ne connaissais pas ses aventures, du coup l'erreur est réparée.

9- Le lys et les ombres de Bernard Simonay. (Je vais essayer de faire un avis bientôt)

10- Peut-on encore rire de tout ? de Cabu. Et oui les derniers évènements on fait que j'ai acheté ce livre, et j'ai prévu d'en acheter d'autres, pour continuer à faire vivre ces gens-là.

11- Une femme simple de Cédric Morgan. Lecture que je n'ai pas aimé et à laquelle je n'ai pas accrochée. L'idée de départ n'est pas mal, mais elle manque d'un côté intéressant et ça n'a pas été amené d'une manière très accrocheuse. En fait bien que ça soit réaliste, j'ai trouvé cela trop banal. Mais j'ai néanmoins apprécié redécouvrir la simplicité d’antan, et des jeux d'enfant, dont un, le bouton-d’or qui dit qu'on aime le beurre, m'a ramené 20 ans en arrière.

Derniers achats : (Il s'est passé quelque chose d'étrange...)

1- BD tome 15 Le donjon de Naheulbeuk

2- Le roi en jaune de R.W. Chambers

3- Trois oboles pour Charon de Franck Ferric

4- Peut-on rire de tout ? de Cabu

5- C'est la faute à la société de Collectif (Honoré, Cabu...)

6- Louange des mousses de Véronique Brindeau

7- Le livre noir de la condition des chrétiens dans le monde de Collectif (Je l'ai enfin, je voulais depuis sa sortie !)

8- Hitler, la propagande et le monde arabe de Jeffrey Herf

9- Les vagues de Virginia Wolf (Je n'ai jamais lu cette auteure donc faut bien que je m'y mette.)

10- Les paysans français de Emmanuel le Roy Ladurie

11- La confrerie des moines volants de Metin Arditi

12- + 1 livre d'une Masse critique Babelio spéciale Le quinconce tome 1 de Charles Palliser

13 et 14 + 2 SP.

Comme vous le voyez ça a été n'importe quoi d'acheter autant. En attendant bonne lecture à tous et bon mois de février.

29 mars 2014

"Le horla et autres nouvelles fantastiques" de Guy de Maupassant

"Le horla et autres nouvelles fantastiques" de Guy de Maupassant

le horla et autres nouvelles

Résumé :

Invisible, indéfinissable, malfaisante, la "chose" rôde déjà autour de lui. L'homme est pris de fièvres, d'insomnies, de cauchemars. L'eau de sa carafe disparaît, la tige d'une rose se brise sous ses yeux, les pages de son livre tournent d'elles-mêmes. Perd-il la raison ? A l'angoisse succèdent la peur et bientôt l'épouvante. Une lutte démoniaque se prépare entre l'homme et cette image maléfique de lui-même qui le dévore peu à peu et s'empare de lui. Qui est cet autre qui maintenant crie son nom, "le Horla" ? "C'est lui qui me hante ! Il est en moi, il devient mon âme ; je le tuerai !"

Mon avis express :

J'ai lu une fois le Horla il y a plus de 10 ans, et je n'avais pas beaucoup aimé, peut-être que j'étais trop jeune ? Ben non, à cette relecture je n'ai pas plus aimé. Et pas que le Horla, même le reste ne m'a pas bottée. Maupassant a écrit tellement mieux !
Une vie, Boule de Suif et Pierre et Jean sont tellement géniaux à côté.
Alors forcément avec le Horla je ne pouvais qu'être déçue, bien que je n'ignore pas que ce revirement de style peut s'expliquer par les problèmes de santé de l'auteur.

Mais quand même 3 étoiles (sur les sites de lecture) car ça n'est pas inintéressant. Je vais par contre relire la première version du Horla, car ce livre comporte la deuxième, et peut-être que la première me plaira davantage, car d'elle aussi je n'en garde pas un grand souvenir plus de 10 ans après.

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9 juillet 2013

"Burqa de chair" de Nelly Arcan

"Burqa de chair" de Nelly Arcan

burqa de chair

Résumé :

Septembre 2001-septembre 2009 : en l’espace de huit ans, une jeune femme déploie son chant et disparaît. Huit ans seulement pour entrer avec fracas dans la littérature et pour s’échapper du monde tout aussi violemment. Nelly Arcan était une guerrière, sous les fragiles apparences d’un ange blond. Son courage intellectuel n’avait d’égal que son effroi de vivre, c’est-à-dire d’habiter un corps. Un corps de femme, exposé et convoité, prison et camisole, étendard et linceul. Burqa de chair, disait-elle dans une formule saisissante. Il semblerait que très tôt elle ait appris à poser les bonnes questions, celles qui dérangent, et que s’emploie à détailler Nancy Huston dans sa préface. Les textes qu’on lira ici sont du meilleur Nelly Arcan. Dernières pierres blanches au bord d’une route interrompue, ils nous donnent l’occasion d’entendre encore une fois la beauté de cette langue inimitable, étourdissante, et qui laisse le lecteur hors d’haleine.

Top chrono :

Une bonne écriture et un ton assez violent, mais j'ai trouvé cela un peu trop vulgaire et tordu. Il ne faut peut-être pas s'attendre à autre chose avec cette auteure, mais pour ma part je n'ai pas été si emballée. C'est beaucoup trop délirant, psychotique, fou et abusé. Pour moi l'autreure a trop forcée, et si cela était bien sa vie -on peut le supposer vu qu'elle s'est suicidée- je n'arrive pas à la prendre en pitié, il ne tenait qu'à elle de se prendre en main et d'arrêter ses délires, ses mensonges, ses films. Enfin bref, le livre comme la personnalité de l'auteure me sont restés hermétiques, bien que la plume soit présente malgré tout.

18 mai 2013

"Quand la fleur se fane, où s'en va son parfum ?" De Grazyna Perl

"Quand la fleur se fane, où s'en va son parfum ?" De Grazyna Perl

quand la fleur se fane où s'en va son aprfum

 


Résumé :

Quelle est la place de la femme dans le bouddhisme ? Existe-t-il dans cette pensée une manière spécifiquement féminine d'appréhender des questions comme le pouvoir, l'amour, la sexualité, l'éducation des enfants ou même la mort ? Maître Bon Yo porte sur ces problématiques un double regard : celui d'une maître du Zen de tradition coréenne et éminente disciple de Seung Sahn (Cendres sur le Bouddha, Points Sagesses, 2002) ; celui d'une femme d'aujourd'hui, qui a choisi de ne pas renoncer à une vie laïque, professionnelle, conjugale et familiale. Parce que le Zen n'est pas une échappatoire " exotique " à la vie quotidienne, mais se pratique ici et maintenant. Née en Pologne dans les années 1960, ancienne styliste de mode devenue artiste-peintre, deux fois mariée et divorcée, mère de deux enfants, Bon Yo analyse, à la lumière de sa riche expérience, les obstacles rencontrés par les femmes pour accéder à de hautes responsabilités, les difficultés à être reconnues sur leur chemin spirituel, la violence qu'elles subissent parfois, les doutes et les inquiétudes qui les préoccupent. Sa réflexion est nourrie des enseignements traditionnels du Zen, auxquels ce Petit traité constitue l'introduction idéale.

Mon très court avis avec beaucoup d'extraits ^^ :

J'ai lu ce livre il y a un mois, et j'avais souvent l'impression de m'entendre parler en le lisant, même si je loin d'être une bouddhiste parfaite. Mais cette sagesse de 2500 ans, et si proche de la nature humaine, a beaucoup à nous apprendre qu'on soit novice ou pas, et pour cela ce livre n'est pas mal. Même si toutefois comprendre c'est une chose et vivre avec en est une autre. ;)

Petits extraits :

- "La compassion n'est pas dissociable de la sagesse : ouvrir son cœur ne signifie pas fermer les yeux, mettre entre parenthèse sa capacité d'entendement, devenir un idiot généreux." (Celle-là c'est ma préféré je crois.)

- "C'est notre esprit qui crée l'univers tel que nous le percevons ou le jugeons. Nous souffrons, parce que nous regardons le monde, êtres et choses, à travers des lunettes des lunettes déformantes de nos émotions ou de nos attentes égotiques."

- "Nous voulons absolument mettre des mots sur tout, qualifier, questionner, expliquer. Le Kong-an est une manière de faire réaliser à l'élève que les concepts que nous accolons aux choses ne sont pas la réalité mais une interprétation de celle-ci et que notre mal-être naît de notre attachement à ceux-ci."

- "Dire que tout est un, c'est dire que la Nature véritable n'a pas de sexe, pas de couleur de peau, qu'elle n'est pas dépendante d'une situation géographique ni d'une culture ou d'une religion. Il n'y a en elle ni bien ni mal. S'éveiller signifie comprendre cela et, par là, nous libérer de la conviction que nous sommes définis par notre éducation, notre fonction, notre nom... Car nous sommes bien plus que cela. Le but est de sortir du rêve et d'entrer dans la Réalité. Il est "d'entrer dans la rivière", comme dit le Bouddha, pour y agir de façon juste en fonction de l'environnement et du moment.

Le Bouddha n'est pas une divinité dotée de pouvoirs surnaturels qui lui auraient permis d'atteindre l'Éveil. Chacun est un Bouddha qui ne demande qu'à se révéler, quels que soient son époque, sa nation, sa condition sociale et son sexe. Il ne s'agit pas d'une simple "égalité des chances" sur la voie de l'Éveil mais de notre nature même. Le chemin vers l'Illumination ne peut être encombré des oppositions forgées par l'esprit qui s'accroche maladivement à la pensée dualiste, car ces pensées sont des entraves. Il doit peu à peu les dépasser." (En fait non elles sont toutes bien. lol)

1 avril 2013

"La cithare nue" de Shan Sa

"La cithare nue" de Shan Sa

shan sa

Résumé :

Elle est issue d’un illustre clan de la plaine du Milieu. Dans ses veines coule le sang des plus hautes castes. Otage d’un capitaine de guerre, elle le suit à travers un pays ravagé, de champs de bataille en cités détruites jusqu’aux portes de la Cité Interdite, du trône impérial.

Il est orphelin, pauvre, mais le seul luthier en ces temps d’invasions et de violence à pouvoir fabriquer la fabuleuse cithare aux sept cordes de soie inventée par le dieu Fu Xi. Sous ses doigts, le bois précieux du sarcophage de l’impératrice oubliée se transforme en musique, et l’amour renait, au-delà des siècles.

Shan Sa poursuit une œuvre singulière et puissante centrée sur la Chine où elle est née, qu’elle soit celle des grandes dynasties d’Impératrice ou plus contemporaine de La Joueuse de go, elle y évoque des héroïnes fortes et fragiles qui, face aux aléas de la réalité, vivent la mélancolie et la beauté du monde comme seule source d’harmonie.


Top chrono :

Y'a pas à dire. Shan Sa est vraiment une auteure comme il en existe peu aujourd'hui, c'est beau, c'est très bien écrit, les histoires sont des vraies histoires, en bref ce n'est pas du Nothomb.
Shan Sa maîtrise sa plume et sait nous faire voyager et rêver, et ce roman qui se déroule à deux époques lointaines ne fait pas exception. A lire pour la beauté des paysages, des personnages, de l'histoire, de l'écriture !

19 janvier 2013

"Le maître du thé" de Inoué Yasushi

"Le maître du thé" de Inoué Yasushi

la maître du thé

Résumé :

« Monsieur Rikyu a assisté à la mort de beaucoup de samouraïs... Combien d'entre eux ont dégusté le thé préparé par Monsieur Rikyu avant d'aller trouver la mort sur le champ de bataille ? Quand on a assisté à la mort de tant de guerriers, on ne peut pas se permettre de mourir dans son lit ! »Non, Monsieur Rikyu (1522-1591), Grand Maître de thé issu du bouddhisme zen, n'est pas mort dans son lit ! Il s'est fait hara-kiri à l'âge de 69 ans. Pourquoi s'est-il donné la mort ? Un vieux moine, son disciple, tente d'élucider le mystère de ce suicide.Ce livre-enquête nous projette dans le Japon de la fin du xvie et du début du xviie siècle. A cette époque, la cérémonie du thé était un acte grave, un rituel qui témoignait d'un engagement redoutable, empreint d'exigences éthiques et politiques, prétexte parfois à des négociations secrètes.Le Maître de thé est donc tout naturellement un roman d'initiation, de méditation, lyrique et sensuel à la fois. A travers la figure historique de Rikyu, Yasushi Inoué (1907-1991) dresse le portrait d'une génération hantée par la mort. Etrange de penser qu'il a écrit là son dernier récit et sans doute son chef-d'oeuvre, publié en 1991, l'année même de sa disparition !

Top chrono :

J'ai beaucoup apprécié l'effet du temps qui passe, mais pour le reste j'avoue que je n'ai pas trouvé cela fameux. Peut-être un brin trop lent, ou pas assez intéressant, sans doute les deux... Pourtant je suis passionnée de ces cultures d'extrême-orient et de thé, j'ai aussi un caractère très calme, mais là non je n'ai pas pu. Peut-être aussi parce que je ne connais pas l'histoire du Japon et que ce livre y fait souvent référence.

Enfin je pense que c'est un tout qui fait que je n'ai pas adhéré à l'histoire si admirablement contée.

28 septembre 2012

"1Q84, tome 3 Octobre - Décembre" de Hauruki Murakami

"1Q84, tome 3 Octobre - Décembre" de Hauruki Murakami

1Q84 tome 3

Résumé :

Ils ne le savaient pas alors, mais c'était là l'unique lieu parfait en ce monde. Un lieu totalement isolé et le seul pourtant à n'être pas aux couleurs de la solitude. Le livre 3 fait entendre une nouvelle voix, celle d'Ushikawa. Et pose d'autres questions : quel est ce père qui sans cesse revient frapper à notre porte ? La réalité est-elle jamais véritable ? Et le temps, cette illusion, à jamais perdu ? Sous les deux lunes de 1Q84, Aomamé et Tengo ne sont plus seuls...

Top chrono :

J'ai été déçue par ce dernier tome. Même s'il a été le meilleur des trois, il est encore décevant, je trouve qu'il manque d'action. En effet j'ai trouvé ça très long, répétitif, et lourd en métaphore, trop nombreuses et inutiles par ailleurs, sans compter qu'il est finalement très incomplet ; je me demande même si c'est bien le dernier tome, et du coup une trilogie. En bref, il n'a pas répondu à toutes mes questions et mes attentes. Une trilogie qui a fait beaucoup de bruit pour rien. A moins qu'une suite soit prévue ?

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Flûte de Paon / Livre-sse livresque
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