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Flûte de Paon / Livre-sse livresque

29 janvier 2013

Mon bilan de janvier !

311526 Voici le premier bilan de l'année.

De ce beau mois de janvier

Où les fleurs chantent dans les prés. 311526

concon nuage

- En plus ça ne veut rien dire...

nuageconcon6

Mes chers amis voici venu le temps des rires et des chants de vous présenter mes acquisitions livresques, et mes livres lus pour ce mois de janvier 2013.

Donc, si dessous vous avez les cadeaux que j'ai eu par ma tante et ma frangine. Qui ont été tirés d'une liste que j'avais donné. Génial je ne fête pas noël mais j'ai des cadeaux, c'est cool !

 

S7301645

La condition humaine de André Malraux

Le piège de la marionnette de Jiro Akagawa

Par delà le bien et le mal de Friedrich Nietzsche

Aurore de Friedrich Nietzsche

La Flander's Compagny tome 1 de Ruddy Pomarede

 

Si dessous toujours, mes lectures du mois :

 

S7301646

La Flander's Compagny tome 1 de Ruddy Pomarede

Le maître de thé de Inoué Yasushi

Le fantôme de Baker Street de Fabrice Bourland

Mal-morts de Jean Marie Ligny (Oui vous ne revez pas c'est du jeunesse, c'est assez rare pour être souligné. ^^)

Songe d'une nuit d'été de William Shakespeare (En fait c'est la première des trois pièces de théâtre du livre, et non la totalité du bouquin que j'ai lu.)

Le livre du thé de Okakura Kakuzô

Aragon un destin français de Pierre Juquin

Fleurs de tempête de Philippe Le Guillou

La dame en blanc de Wilkie Collins 

 

Mes achats. Je ne comprends pas ce qui s'est passé...

 

S7301648(vue d'ensemble)

 

 

S7301649

 

S7301650(De plus près)

Les titres ? Les voici :

Le dernier pape de Edouard Brasey

L'Illiade de Homère

Pierre Abélard de Jean-Pierre Letort-Trégaro (Il a un nom à rallonge lui !)

Contes de Andersen

Contes de Charles Perrault

Contes de Jacob Grimm, Wilhelm Grimm

Contes polonais : Maciek et Wojtek de Agnieszka Macias

Contes d'une grand-mère japonaise

Contes d'une grand-mère chinoise

Contes d'une grand-mère tibétaine

Idhun tome 2 : La triade de Laura Gallego Garcia

L'histoire de France interdite de Dimitri Casali

L'histoire fabriquée ? ce qu'on ne vous dit pas à l'école de Vincent Badré

Ainsi soit Olympe de Gouges de Benoîte Groult

Vous remarquerez qu'il y'a beaucoup de contes, c'est que ne les connaissant aucunement j'ai décidé de rattraper mon retard. Encore que les contes japonais, chinois, polonais, tibétain c'est vraiment par curiosité, et parce que ces pays m'attirent.

 

Les livres que j'ai prévu de lire en février, j'espère avoir assez de temps :

 

S7301654

J'ai l'intention de finir le Shakespeare, les deux dernières pièces sont : Les joyeuses commères de Windsor et Le soir des rois.

Journal de voyage tome 2 d'Alexandra David-Néel

L'arbres des possibles de Bernard Werber

Mémoires d'un vieux con de Roland Topor

Confession d'un masque de Yukio Mishima

Ainsi soit Olympe de Gouges de Benoîte Groult

Tu verras de Nicolas Fargues

Andromaque de Jean racine

Secrets d'histoire tome 1 de Stephane Bern

Nevrospiral de Patrick Olivier Meyer

 

Et voilà ! Bonne lecture à tous et bon mois de février.

 

 

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28 janvier 2013

"Le livre du thé" de Okakura Kakuzô. Pas qu'une tasse de thé.

"Le livre du thé" de Okakura Kakuzô

le livre du thé

Résumé :

Depuis un siècle, Le Livre du thé, qui offre une introduction des plus subtiles à la vie et à la pensée asiatiques, s'adresse à toutes les générations.
Et ce grand classique, qui a permis naguère de jeter un pont entre l'Orient et l'Occident, n'a rien perdu de sa force et peut encore éclairer notre modernité. Le trait de génie d'Okakura fut de choisir le thé comme symbole de la vie et de la culture en Asie : le thé comme art de vivre, art de penser, art d'être au monde. Il nous parle d'harmonie, de respect, de pureté, de sérénité. Au fond, l'idéal du thé est l'aboutissement même de cette conception zen : la grandeur réside dans les plus menus faits de la vie.
Qui cherche la perfection doit découvrir dans sa propre vie le reflet de sa lumière intérieure. Aussi la voie du thé est-elle bien plus qu'une cérémonie : une façon de vivre en creusant aux racines de l'être pour revenir à l'essentiel et découvrir la beauté au cœur de la vie.

Mon avis :

Pour la passionnée de culture asiatique que je suis, je ne pouvais pas passer à côté de ce livre, et vu qu'en ce moment j'ai décidé de m'investir d'avantage sur la voix du thé, le thé en général en fait, j'ai enfin décidé de sortir ce livre de ma PAL. Et ce fût une bonne chose ! Car déjà ce livre raconte une raison claire sur la mort de maître Rikyu, personnage que j'ai rencontré y'a peu dans le livre Le maître de thé de Yasushi Inoué, mais aussi parce que c'est une assez bonne introduction sur la cérémonie du thé japonaise, le zen, le taoïsme...

En fait grâce à ce livre, je comprends mieux, enfin d'une façon plus profonde, pourquoi par exemple dans Nuée d'oiseaux blancs Yasunari Kawabata donne un côté théâtrale à certaine scène autour du thé, que j'avais un petit peu critiquée à l'époque. J'ai découvert à la lecture de ce livre, qu'en fait cette cérémonie bien qu'intime, où les différences, les soucis... sont mis de côté, ressemble un peu à du théâtre, si je puis dire, puisqu'en effet le livre appuie et montre vraiment l'importance du décor, des gestes, des bruits, du protocole, de l'esprit qui domine cet art de vivre. Car c'est vraiment un art de vivre, cette voie du thé doit permettre à tout individu de trouver sa place dans le monde dans le respect de l'autre mais aussi de soi. C'est même pour bien faire, un esprit qu'il faudrait continuer à appliquer à l'extérieur du pavillon de thé. (Harmonie - Respect - Pureté - Sérénité)


En lisant ce livre j'ai aussi appris l'origine chinoise de cette cérémonie, l'importance de l'asymétrie dans la décoration et l'esprit, mais aussi découvert que cette voix du thé a touché beaucoup de domaine de la vie de tous les jours, que ça soit la construction, la poésie, la céramique, la calligraphie, l'habillement, les fleurs... D'ailleurs en ce qui concerne la fleur, l'art de l'Ikébana pour être précise, j'aurais vraiment aimé l'apprendre lors de mon CAP fleuriste y'a 10 ans, mais finalement ça ne s'est jamais fait. C'est triste. ^^

Bref, ce livre est vraiment une bonne introduction sur tout cette univers du thé, du tao... L'auteur nous interpelle beaucoup, et même si ce livre a été écrit en 1906, on s'aperçoit qu'il est toujours d'actualité, et surtout dans son message. Assurément un livre à lire. (Maintenant y'a plus qu'à croiser les doigts pour que j'assiste au moins une fois à cette cérémonie, et pourquoi pas l'apprendre.)

 

Extrait :

" Ce n'est qu'au sain du vide, affirme-t-il, que demeure l'essentiel. La réalité d'une chambre, par exemple, se découvre dans l'espace vide défini par les murs et le plafond, non dans les murs et le plafond eux-mêmes. L'utilité de la cruche réside dans son espace vide, capable de contenir l'eau, non dans sa forme ou sa matière. Le vide est tout-puissant parce qu'il embrasse le tout. Ce n'est qu'au sein de la vacuité que tout mouvement devient possible. Celui qui parviendrait à faire de lui-même un espace vide où autrui pourrait librement pénétrer serait maître de toutes les situations. Car le tout peux toujours dominer les parties."

Si cet avis vous plaît, vous pouvez toujours cliquer sur le pouce vert par ici. :)

28 janvier 2013

"Le fantôme de Baker Street" de Fabrice Bourland : Etrange, ces revenants...

"Le fantôme de Baker Street" de Fabrice Bourland

 

le fantôme de BS

Résumé :

Londres, 1932. Depuis que la municipalité a attribué à la maison du major Hipwood le n° 221 à Baker Street, le salon du premier étage semble hanté. S'agit-il d'un esprit, comme le prétendent certains ? Existe-t-il un lien entre ces manifestations et la série de crimes qui ensanglante Whitechapel et les beaux quartiers du West End ? Motivée par un funeste pressentiment, lady Conan Doyle, la veuve de l'écrivain, sollicite l'aide de deux détectives amateurs, Andrew Singleton et James Trelawney. Lors d'une séance de spiritisme organisée à Baker Street, ces derniers découvrent avec effarement l'identité du fantôme. Et quand ils comprennent que les meurtres à la une des journaux imitent ceux commis par Jack l'Eventreur, Dracula, Mr Hyde et Dorian Gray, nos jeunes enquêteurs sont entraînés dans une aventure qu'ils ne sont pas près d'oublier.

Mon avis :

Si je me souviens bien j’ai acheté ce livre sur une boutade de Taliesin, donc j’avoue qu’avant d’entamer ma lecture, je n’avais pas de grande idée sur ce qui m’attendait. Un énième roman policier semblable aux autres dans le fond et la forme ? Ou quelque chose de neuf ? La deuxième question est finalement ma réponse.

Ce livre m’a en effet surprise. Même si quelques ficelles sont pour le moins assez visibles, je dois dire que je ne m’attendais pas à cela. En fait j’avoue qu’au vu du résumé, je m’attendais plutôt à un genre de Psycho, le livre de Richard Montanari, où un tueur reproduit les meurtres de film célèbre. Eh ben non ! Je n’y étais pas du tout ! Ici c’est 100 fois mieux, car dans cette ambiance surannée et spirite, se côtoie au côté des fantômes et des cadavres, des personnages qui voient leurs certitudes voler en éclat. Ce qui au final en fait un récit très vivant et prenant.

Sincèrement, je ne peux que saluer l’audace de l’auteur, qui a eu l’idée de faire renaître sous sa plume, l’époque victorienne via ses faits divers ou ses chefs d’œuvres, par une œuvre dans l’ensemble assez bien maniée et riche en nouveauté, enfin pour moi. Que l’imagination collective fasse vivre les plus grands personnages de roman, ou qui ont réellement existé (comme Jack l’éventreur) c’était franchement bien trouvé.

Cela étant, je n’en ferais pas un coup de cœur pour autant, car j’ai malgré tout trouvé la fin trop rapide, même si au final et en ce qui me concerne c’était plutôt une bonne chose, car je frissonnais de peur. Je ne suis pas très courageuse j’avoue, j’ai d’ailleurs maudit ce pauvre Tal. sur 99 générations toute la soirée…, mais quand même la fin m'a parue trop rapide et facile. D’ailleurs tant que j'y suis, je tiens à souligner l’admirable sang-froid des personnages, notamment sur la fin. Personnellement y’a longtemps que je me serais carapatée dans l’autre sens…, même avec Sherlock Holmes à côté de moi.

En conclusion et malgré la fin c’est un bon livre à lire. Par contre j’ai vu que l’auteur a écrit d’autre livre avec nos deux jeunes détectives, du coup j’ai bien envie de les tenter, mais je dois dire que j’hésite à vouloir les lire quand même, car vu que j’ai bien apprécié celui-ci, j’ai peur d’être déçue par les autres. Qui peut me renseigner ?

Si l'avis vous plaît cliquez sur le petit pouce vert ici :) Merci.

20 janvier 2013

Poésie "La petite marchande de fleurs"

 

Y'a longtemps que je n'ai pas mis de poésie, en voilà une que j'ai trouvé fort jolie, mais hélas bien triste...

 

fée dodo

La petite marchande de fleurs

Elle nous proposa ses fleurs d'une voix douce,
Et souriant avec ce sourire qui tousse.
Et c'était monstrueux, cette enfant de sept ans
Qui mourait de l'hiver en offrant le printemps.
Ses pauvres petits doigts étaient pleins d'engelures.
Moi je sentais le fin parfum de tes fourrures,
Je voyais ton cou rose et blanc sous la fanchon,
Et je touchais ta main chaude dans ton manchon.
Nous fîmes notre offrande, amie, et nous passâmes ;
Mais la gaîté s'était envolée, et nos âmes
Gardèrent jusqu'au soir un souvenir amer.

Mignonne, nous ferons l'aumône cet hiver.

 

François Coppée (1842-1908)

19 janvier 2013

"Le maître du thé" de Inoué Yasushi

"Le maître du thé" de Inoué Yasushi

la maître du thé

Résumé :

« Monsieur Rikyu a assisté à la mort de beaucoup de samouraïs... Combien d'entre eux ont dégusté le thé préparé par Monsieur Rikyu avant d'aller trouver la mort sur le champ de bataille ? Quand on a assisté à la mort de tant de guerriers, on ne peut pas se permettre de mourir dans son lit ! »Non, Monsieur Rikyu (1522-1591), Grand Maître de thé issu du bouddhisme zen, n'est pas mort dans son lit ! Il s'est fait hara-kiri à l'âge de 69 ans. Pourquoi s'est-il donné la mort ? Un vieux moine, son disciple, tente d'élucider le mystère de ce suicide.Ce livre-enquête nous projette dans le Japon de la fin du xvie et du début du xviie siècle. A cette époque, la cérémonie du thé était un acte grave, un rituel qui témoignait d'un engagement redoutable, empreint d'exigences éthiques et politiques, prétexte parfois à des négociations secrètes.Le Maître de thé est donc tout naturellement un roman d'initiation, de méditation, lyrique et sensuel à la fois. A travers la figure historique de Rikyu, Yasushi Inoué (1907-1991) dresse le portrait d'une génération hantée par la mort. Etrange de penser qu'il a écrit là son dernier récit et sans doute son chef-d'oeuvre, publié en 1991, l'année même de sa disparition !

Top chrono :

J'ai beaucoup apprécié l'effet du temps qui passe, mais pour le reste j'avoue que je n'ai pas trouvé cela fameux. Peut-être un brin trop lent, ou pas assez intéressant, sans doute les deux... Pourtant je suis passionnée de ces cultures d'extrême-orient et de thé, j'ai aussi un caractère très calme, mais là non je n'ai pas pu. Peut-être aussi parce que je ne connais pas l'histoire du Japon et que ce livre y fait souvent référence.

Enfin je pense que c'est un tout qui fait que je n'ai pas adhéré à l'histoire si admirablement contée.

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6 janvier 2013

Proverbe tibétain

 

shaka2

Les remèdes qui guérissent ne sont pas toujours savoureux, comme les paroles de bien ne sont pas toujours agréable à entendre.

Proverbe tibétain.

5 janvier 2013

Bilan lecture 2012

Bilan 2012.

Cette année n'aura pas été une si bonne année de lecture, déjà parce que j'ai lu beaucoup de livre pas fameux, du coup j'ai un peu traîné pour lire, et aussi parce que cette année j'ai vraiment été fatiguée et du coup je préférais dormir quand j'avais le temps. 

Donc avec ces deux contre-temps de merde, je n'ai pas lu beaucoup seulement 85 livres, ( alors que d'habitude je dépasse les 100 livres par an ), et 20 BDs environ. C'est bien la première fois d'ailleurs que j'en lis autant ! Les autres années, c'était généralement 2 BDs par an, à savoir celle du Donjon de Naheulbeuk, mais comme cette année j'ai commencé une toute nouvelle collection en format poche, Calvin et Hobbes, j'ai bien dû les lire. 

Sinon voici la liste des livres lu cette année :

Ceux du jury livre de poche :

1- Bifteck de Martin Provost

2- Le front russe de Jean-Claude la Lumière

3- La vengeance du Wonbat de Kenneth Cook

4- L'impossible pardon de Randy Susan Meyers

5- Le club des incorrigibles opptimistes de Jean-Michel Guenassia ( Je ne l'ai absolument pas aimé, j'ai lu la fin en diagonale.) (Gagnant ex-aqueo avec La ballade Lila K.)

6- La ballade de Lila K. de Blandine le Callet (J'ai voté pour lui aux deux votes, car il est vraiment bien !)

7- Kane et Abel de Jeffrey Archer

8- La montagne invisible de Carolina de Robertis

9- Purge de Sofi Oksanen

10- Dans la ville d'or et d'argent de Kénizé Mourad

11- Les Radleys de Matt Haig (J'ai failli mourir en le lisant, y'a des dracuculs dedans. Ouiiiiiiiiiin)

12- Apocalypse bébé de Virginie Despentes

13- Les trois saisons de la rage de Victor Cohen-Hadria

14- Comme des larmes sous la pluie de Véronique Biefnot

15- Quand la nuit de Cristina Comencini (Abandonné.)

16- Olive Kitteridge de Elizabeth Strout

17- Les imperfectionniste de Tom Rachman

18- Les aventures d'Hercule Barfuss de Carl-Johan Vallgren (J'avoue que je ne l'ai pas encore fini, il ne me plaît pas des masses, mais j'ai bien l'intention de le finir petit à petit.)

19- Charlotte Isabel Hansen de Tore Renberg

20- Les bulles de Claire Castillon

21- Les témoins de la mariée de Didier Van Cawelaert

22- Chevalier de l'ordre du mérite de Sylvie Testud (Déçu par ce bouquin, je m'attendais à mieux vu ses précédents.)

23- Rû de Kim Thuy

24- Jack roseblum rêve en anglais de Natasha Solomons.

25- Des gens très bien de Alexandre Jardin (Pas super passionnant, plutôt assomant même.)

(Alors avait un vingt-sixième livre à lire, mais j'avoue que je ne l'ai pas lu, c'était "Le livre perdu des sortilèges" de Deborah Harknesse. Sincèrement ce genre là n'est pas mon style de lecture et vu le pavé que c'était je n'ai pas eu envie d'y perdre mon temps. Déjà que "Les Radleys", qui était bien plus court m'a paru très fastidieux et pas seulement à cause des dracuculs.)

Partenariats (Babelio, My Boox, Livraddict. Avis sur le blog.)

26- Lame de fond de Linda Lê

27- La liste de mes envies de Grégoire Delacourt

28- Eloge de la trahison de Jacques Aboucaya

29- Les leçons du mal de Thomas H. Cook

30- Discordance de Anna Jörgensdotter

31- Une place à prendre de JK Rowling

32- Le roman des châteaux de FRance de Juliette Benzoni

33- Diderot ou le bonheur de penser de Jacques Attali


Et les autres:

34- Comment va la douleur ? de Pascal Garnier

35- La nuit de Sam-Rémo de Phillipe Brunel

36- Sans regret de Françise Bourdin

37- L'insoutenable légèreté de l'être de Milan Kundera (Absolument horrible, j'ai détesté. Avis sur le blog ici.)

38- La joueuse de go de Shan Sa

39- Ce que je sais de Vera Candida de Véroonique Ovalde

40- Le magicien d'Oz de Lyman Frank-Baum

41- Auprès de moi toujours de Kazuo Ishiguro (Je n'ai pas aimé non plus. Trop long bien qu'il peut être choquant. Dommage car le sujet était très bon.)

42- Merlin et Arthur : Le graal et le royaume texte attribué à Robert de Boron, premier quart du XIIIème siècle (Troisième récit de mon gros livre sur la Légende Arthurienne.)

43- Tendre et la nuit de Francis Scott-Fitzgerald (Abandonné. Pour plus de détaille voir avis blog ici.)

44- Extrêmememnt fort et incroyablement près de Jonathan Safran Foer (Abandonné mais je ne sais pas si ça ne vient pas du format de mon livre, le fait que je n'ai pas aimé ce bouquin. Format point.2 (?))

45- Le roman des Jardins d'Alexandre Jardin (Pas aimé, décidémment je n'ai pas chance avec cet auteur, à part "Fanfan".)

46- De fièvre et de sang de Sire Cédric

47- Tomber sept fois se relever huit de Phillipe Labro (Abandonné aussi. Bon j'ai quand même lu vaguement la fin à la va vite.)

48- L'homme qui voulait être heureux de Laurent Gounelle ( A lire au moins pour rigoler un bon coup. Avis sur le bbog pour plus de détaille.)

49- L'empereur de Han Wu

50- L'île au trésor de Robert Louis Stevenson

51- La fille des eaux vives de Antonin Malroux

52- Les contes myalgiques Tome 1 de Nathalie Dau

53- Pour en finir avec la repentance coloniale de Daniel Lefeuvre

54- 1Q84 tome 3 de Haruki Murakami

55- Le fantôme de l'opéra de gaston Leroux

56- La fortune des Rougon de E. Zola

57- La dame en noir de Susan Hill

58- L'islmamisme le vrai visage de l'islam de Hamid Zanaz

59- Avis de tempête de Susan Fletcher

60- Nous avons raté la piste de Stephan Orth, Antje Blinda et Agnès Boucher (Super rigolo !)

61- 24H00 dans a vie d'une femme de Stefen Zweig

62- Comme des étoiles filantes de Jacqueline Mitchard

63- La régression intellectuelle de la France de Philippe Némo

64- Au couvent des petites fleurs de Indu Sundaresan

65- Mémoires d'un jeune homme dérangé de Frédéric Beigbeder

66- Opium de Maxence Fermine

67- La captive d'hiver de serge Brussolo

68- La dame aux camélias de Alexandre Dumas fils

69- Le pacte boréal de Anna Jansson

70- L'anneau de Salomon de Jonathan Stroud

71- L'égoiste romantique de Frédéric Beigbeder

72- Le roman de la Pologne de Beata de Robien

73- L'étrange cas de docteur Jekyll et Mister Hyde de Robert Louis Stevenson

74- Le crime d'Halloween d'Agatha Christie

75- La mère de Pearl Buck

76- Du domaine des murmures de Carol Martinez

77- L'herbe bleue d'Anonyme

78- La jeune fille suppliciée sur l'étagère de Akira Yoshimura

79- Comment Jésus est devenu Dieu de Frédéric Lenoir

80- La dure Loi du Karma de Mo Yan

81- La beauté du mal de Rebecca James

82- Un très grand amour de Franz-Olivier Giesbert

83- Je pars à l'entracte de Nicolas d'Estienne d'Orves

84- Anna Karénine de Léon Tolstoï

85- Arsène Lupin contre Herlock Sholmès de Maurice Leblanc

Et les BD juqu'au numéro 16 de "Calvin et Hobbes" et les deux tomes du "Donjon de Naheulbeuk" sortie en 2012, le tome 10 et 11. Ha oui et j'ai oublié la BD du partenariat Babelio, un remake des pieds nickelés Tome 2.

 

nunu

 

Et voilà ! Espérons que 2013 soit meilleur niveau découverte, et en ce qui concerne le blog ben comme cette année, il vivotera quand y'aura besoin. :) Bonne lecture à tous.

 

2 janvier 2013

Un très grand amour ou la vie d'un prédateur

"Un très grand amour" de Franz-Olivier Giesbert

un très grand amour

Résumé :

«Sur son lit de souffrances, quelques semaines avant de mourir, maman m'avait mis en garde : "Qu'est-ce que c'est bête, un homme. - Je ne comprends pas. - C'est bête, égoïste et pas fiable. Antoine, promets-moi de ne jamais te comporter comme un homme." Je me souviens que j'avais hoché la tête. Encore une promesse que je n'ai pas tenue. Je suis toujours resté à l'affût. Même quand j'étais heureux en ménage, ce qui fut souvent le cas, je continuais à rechercher le très grand amour, celui qui, selon Spinoza, constitue un "accroissement de nous-même". C'est exactement la sensation que j'éprouvais en observant la jeune fille aux cheveux d'or. Je m'accroissais. Je m'élevais aussi.»

Mon avis :

Ce livre est une horreur ! Pas tant au niveau de l’écriture, malgré l’étalage de citation, mais plutôt au niveau de l’histoire et des personnages.

Tout d’abord niveau histoire c’est ; mièvre, cul-cul, dégueulasse - et au sens littéral -, stupide et dégoulinant d’un sentimentalisme absolument répugnant. Très sincèrement que ça soit le nombrilisme du personnage principal ou les petites manies des amoureux ( le coup du peigne et de la chemise était à mourir de rire ), l’histoire bascule très vite dans la comédie mielleuse et c'est horrible à lire ! Honnêtement, si un jour je dois devenir amoureuse et si je deviens comme ça, abattez-moi sur le champ !

Ensuite niveau personnage on n’a pas mieux, la palme du plus détestable et du ridicule revenant quand même et sans conteste au personnage principal Antoine pour son histoire d’impuissance qui peut suivre son opération. Très franchement pour moi, un mec qui ne pense qu’à tremper sa kékette afin de pouvoir ressentir encore du plaisir et qui en plus pense être malheureux sans, excusez-moi mais il a un sérieux problème.
Outre cela, faut savoir qu'il est lourd avec son envie « d’amour » je ne vous raconte pas ! Sérieusement il est a claqué avec ça, je vous jure ; et encore plus quand il revient gratter l’amitié auprès des filles qu’il a lâchées. Surtout qu’il est attiré régulièrement que par des jeunettes ce qui est sacrément répugnant.
Mais ce n'est pas tout, car répugnant il peut l'être en pire encore ! Puisqu'il a une fâcheuse tendance à jouer les martyrs et à essayer d’embobiner les gens avec ses malheurs...

Je ne sais pas vous, mais à son âge agir ainsi c’est juste de l’indécence. Pour moi ce type qui se dit n’appartenir à rien ni personne, n’est finalement qu’un gros menteur qui se fout de la gueule des gens. En fait pour moi cet Antoine n’a aucun honneur et aucune valeur.
Enfin ce n’est que mon point de vue… Mais quoi qu'il en soit il a tout du personnage nombriliste, obsédé et antipathique, et si un jour ce mec tombe amoureux de vous, un conseil mesdames, partez en courant.

Bref !

En résumé je ne conseille pas ce livre, il est hyper décevant et niais. Bon il est vrai que je ne suis pas spécialement fan des histoires d’amour, mais d'après ce que j'ai pu voir sur le net il en a déçu plus d'un. Pour ma part je n’ai finalement qu’un regret, c’est de l’avoir acheté.

30 décembre 2012

Anna Karénine ou comment s'ennuyer.

"Anna Karénine" de Léon Tolstoï

anna karénine

Résumé :

La quête d'absolu s'accorde mal aux convenances hypocrites en vigueur dans la haute société pétersbourgeoise de cette fin du XIXe siècle. Anna Karénine en fera la douloureuse expérience. Elle qui ne sait ni mentir ni tricher - l'antithèse d'une Bovary - ne peut ressentir qu'un profond mépris pour ceux qui condamnent au nom de la morale sa passion adultère. Et en premier lieu son mari, l'incarnation parfaite du monde auquel il appartient, lui plus soucieux des apparences que véritablement peiné par la trahison d'Anna. Le drame de cette femme intelligente, sensible et séduisante n'est pas d'avoir succombé à la passion dévorante que lui inspire le comte Vronski, mais de lui avoir tout sacrifié, elle, sa vie de femme, sa vie de mère. Vronski, finalement lassé, retrouvera les plaisirs de la vie mondaine. Dans son insondable solitude, Anna, qui ne peut paraître à ses côtés, aura pour seule arme l'humiliante jalousie pour faire vivre les derniers souffles d'un amour en perdition. Mais sa quête est vaine, c'est une "femme perdue".

Mon avis :

Sans faire de grand détour, je vais vous avouer que j’ai trouvé ce livre affreusement long... chiant à souhait ! En effet oui, chiant à souhait. Et même si le début a été prometteur et qu’il se lit très bien, malgré que ça soit une histoire d'amour, le livre aurait sérieusement gagné à faire quelques centaines de pages en moins. Déjà parce que sur la fin ça commence à faire long, et ensuite parce que y’a des passages, notamment sur l’agriculture, la mort du frère de de Levine Constantin, etc etc… qui sont durs à digérer car pas toujours intéressants, d'ailleurs j'avoue que là j'ai souvent lu en diagonale, du moins à partir de la page 500.

Maintenant niveau personnage et malgré leur très grand nombre, je dois dire que Tolstoï a vraiment fait un bon travail. En leur donnant à chacun une personnalité qui leur était propre, de l'assurance et des doutes il est vraiment arrivé à les rendre vivant. Cela dit ceux que je n’ai absolument pas pu supporter se sont les filles. Sincèrement des personnages atteints d’hémorragie lacrymale et "d’hystérie" ce n’est pas possible... Sans compter qu’elles ont une fâcheuse tendance à n'avoir pour préoccupations que ; l’amour, la famille, et/ou le « m’as-tu vu », ce qui peut vite devenir horrible, même si là était sans doute les moeurs de l'époque dans la riche société. 

Par contre en ce qui concerne Anna maintenant je dois admettre que ma dernière impression est plutôt mauvaise, en effet malgré un début plutôt agréable en sa compagnie, vers la fin je n’ai pas pu m’empêcher de la détester, pour être honnête son suicide je ne le trouve pas si mal. Sa méchanceté gratuite, son égoïsme et sa jalousie maladive je n’ai pas pu. Alors si l’égoïsme ne me gêne pas outre mesure, je préfère ceux-là aux hypocrites, je n’ai cependant pas pu supporter qu’elle s’en serve pour répandre sa méchanceté et qu’elle soit une cause à sa jalousie mal placé. Honnêtement pour moi son malheur elle a cherché, et elle l'a taillé toute seule avec ses films, du coup je n’ai par conséquent pas pu la prendre en pitié, en fait pour moi c’était son entourage qui était à prendre en pitié mais pas elle.  (Je suis monstrueuseSmiley sourire roule 56.gif)

En résumé ce n'est pas si mal mais hélas trop long, et du coup je ne suis pas certaine de vouloir en tenter d'autres. Enfin l'avenir le dira.

12 décembre 2012

"Diderot ou le bonheur de penser" de Jacques Attali

"Diderot ou le bonheur de penser" de Jacques Attali

diderot

Résumé :

« Quel plaisir de raconter la vie d’un homme immensément intelligent, puits de science, totalement libre, follement amoureux, incroyablement créatif. Et si drôle !

Quel plaisir de comprendre qu’il est plus important que tous les autres auteurs des Lumières, parce qu’il a pensé avant d’autres aux droits de l’homme, à la révolution, à l’unité de l’espèce humaine ; parce qu’il a bâti, avec L’Encyclopédie, le socle de la révolution politique, philosophique et économique de l’Europe.

Traversant le XVIIIe siècle, de la fi n du règne de Louis XIV à la veille de la Révolution française, Denis Diderot aura tout vu de la fi n d’un monde et tout compris de celui qui s’annonçait. Il aura défi é les grands de son temps, il aura pensé et écrit librement au risque de l’emprisonnement. 
Doué d’une prédisposition infinie au bonheur, il aima jusqu’au dernier jour plusieurs femmes à la fois, sans s’en cacher, sans en attendre ni argent, ni influence. Polémiquant, ferraillant sur tous les sujets, inspirateur et éditeur de ses contemporains – Rousseau, d’Alembert, d’Holbach, Condillac… –, il bouleversa les codes du théâtre et du roman français. Et fut le dernier homme à maîtriser l’ensemble du savoir de son époque.

Mon avis:

La lecture de ce livre a été dans l’ensemble agréable, j’ai découvert beaucoup de chose sur Diderot, mais aussi sur l’époque. Cela dit parfois ça a été pour ma part un peu difficile à suivre. En effet ce livre est déjà un condensé d’information ce qui est très agréable, néanmoins la flopée de nom qu’il y’a m’a soit complètement perdu, ou alors elle m’est passée au-dessus de la tête. Ça c’est le premier point négatif, le second point négatif, c’est la profusion des lettres appartenant à Diderot ou à d’autres personnages. En plus de casser le rythme de la lecture, elles ne m’ont pas toujours intéressées, surtout les lettres d’amour…

Cela étant et malgré tout, ce livre est comme je le dis riche en connaissance, puisque l’auteur ne s’arrête pas au seul personnage de Diderot, en effet il va aussi raconter ce qui se passe en France à cette période, mais aussi dans le monde (E.U. Chine, Russie…), sans compter qu’il va, à défaut de vraiment développer, parler des autres philosophes, raconter un peu leur caractère, leurs œuvres, leur vie… Ce que j’ai beaucoup apprécié.

Autre point que j’ai aimé, c’est de découvrir la vie de Diderot : son père le destinait à une carrière religieuse, ses trois premiers enfants sont morts (seule Angélique survivra), et il s’est enfuit d’un couvent de Langres où son père l’avait fait enfermer pour éviter son mariage, d’ailleurs les mœurs de l’époque étaient assez spéciales sur ce sujet, un homme ne pouvait pas se marier avant 30 ans sauf si accord de ses parents, et 25 ans pour la femme. Étrange, hein ?

Mais outre ceci, ce que j’ai surtout apprécié découvrir ce sont les mille tracas par lesquels il est passé pour publier son encyclopédie, sans oublier ses autres œuvres, qui portent un regard tellement critique que ça lui vaudra la prison !

Pour en revenir à l’encyclopédie, elle a bien démarré, mais suite à l’attentat sur le roi Louis XV par Damiens, plus d’autres petites choses à cause de l’église, ça se complique... En effet Diderot et d’Alembert ont dû la finir dans la clandestinité, et les libraires ont dû à leur tour l’imprimer en cachette. D’ailleurs ils imprimeront tous les derniers tomes d’un coup afin d’éviter toutes autres censures ou destructions par les autorités, et ils la vendront même sous le manteau ! Tout cela pour dire qu'en ce temps, il n'était point aisé d'arriver au bout de cette grande entreprise à cause de la censure. En plus faut savoir que Diderot la finira seul, puisque d’Alembert qui ne s’occupait que de la partie mathématique arrêtera avant l’expérience. Cela dit, Diderot arrivera au bout de cette entreprise grâce aux centaines de personnes qui l’ont aidé à faire les articles.

Mais attention, ce n’est pas pour autant que le génie de cet homme sera reconnu de son vivant, ni même de sa mort, enfin au début. Mort avant la révolution, il a été accusé comme ennemi par les maîtres de cette dernière à cause de son athéisme ; mais paradoxalement il sera aussi accusé d’être responsable de la terreur, pour avoir fait l’apologie de la mort du monarque, ce qui on en convient ne l’aidera pas à se faire une place posthume.
Ce n’est qu'en 1866 que Pierre Larousse en parlera élogieusement, et sous la III république les républicains et les anticléricaux feront de Diderot le précurseur de leur idée, notamment celle de la laïcité. La suite de l’histoire fera toujours de Diderot une lumière, cependant à travers l’histoire il aura toujours des détracteurs qui lui reprocheront son athéisme et son caractère révolté, comme en 1913. 

Je pourrais m’arrêter là sur ce livre, cela dit je dois dire que je n’ai pas pu m’empêcher de faire le parallèle entre ce 18ème siècle vécu par Diderot et l’époque actuelle. J’ai en effet trouvé quelques ressemblances, outre le fait qu’aujourd’hui la France est à peu près aussi ruinée que celle de ce 18ème siècle et qu’elle traverse de graves crises, j’ai remarqué ou disons que je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer le retour de l’obscurantisme religieux.
Jusqu’à la révolution, l’église avait droit de s’exprimer sur diverses affaires royales et n’hésitait pas à faire valoir son pouvoir pour empêcher toutes critiques sur la religion en « traquant » notamment les philosophes quand ces derniers émettaient une opinion athée ou éclairée ; si on regarde bien et pourtant sans trop chercher, on voit qu’aujourd’hui on connaît cette même chose en particulier à cause de l’Islam.
Religion obscurantiste qui supporte encore moins que les autres les critiques des philosophes ou des gens simples, et qui du coup impose son silence dans nos démocraties, sous divers prétextes fallacieux, avec l'aide de quelques associations qui se posent en censeur de la morale et de la pensée. Est-ce le signe que l’on régresse au-delà du 18ème ? En ce qui me concerne je pense sincèrement que oui, et je suis certaine que Diderot comme Voltaire en seraient mortifiés. Holbach à Diderot : « Un peuple qui croit que c’est la croyance en d’un Dieu, et non pas les bonnes lois, qui font les honnêtes gens, ne me paraît guère avancé. »

En conclusion voici ce que dit l'auteur mieux que moi : « Les restes de Diderot, qui ne sont sans doute plus sous la crypte de Saint-Roch, auraient à l’évidence leur place au Panthéon. Parce qu’il nous montre que penser librement peut être en soi une source de bonheur. Parce qu’il est le premier à avoir fait du devoir d’indignation un fondement du droit et de la souveraineté populaire. Parce qu’il a été le précurseur en maints domaines, de la philosophie politique à la biologie en passant par le théâtre et la musique. Parce qu’il a été le dernier homme à pouvoir prétendre avoir embrassé et maîtrisé en tout domaine le savoir disponible de son temps. »

Phrases de Diderot :

« [...] Il est mille fois plus facile, j’en suis persuadé, pour un peuple éclairé de retourner à la barbarie, que pour un peuple barbare d’avancer d’un seul pas vers la civilisation. »

« Le premier pas vers la philosophie, c’est l’incrédulité. »

Je remercie MyBoox pour cette découverte que je conseille vivement et les éditions Fayard.

 

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